Quatrième balade musicale

 

Avertissement au lecteur : cette quatrième étape en musique est précédée d'une introduction, datée du 26 mars (2021), en lien avec la situation que nous traversons en ce moment. Dans nos lignes, rien de plus tragique que la situation en elle-même (ici, il est même question de confiance, en particulier grâce à un plan vaccinal accéléré), mais si vous souhaitez passer directement à nos chansons, juste après l'astérisque, on vous comprend, non c'è problema!

Que c'est difficile, quanto è difficile, parler de chansons, quand autour de nous crolla il mondo, o meglio, crollano anzitutto le persone di ogni genere e età!!! Essayons pourtant de ne pas perdre idées et "inspiration", pour toutes les raisons que l'on sait. Et commençons par admettre encore (simplement mais sûrement), que la musique devient, pour ceux qui osent ne pas l'oublier complètement, même en ces moments extrêmement dramatiques, une sorte de léger "baume", voire beaucoup plus. Selon circonstances, vécu ou sensibilités particulières.
De notre côté, ces "Canzoni & Chansons", qui ne nient pas la réalité, mais la chantent avec milles intentions différentes, méritent toujours d'être (ré)écoutées et partagées... Rythmes et notes face à nos peurs et angoisses. Voix, mélodies et paroles bien pensées qui s'ajoutent, de manière souvent plus personnelle ou intime, à ces distractions (télé, web...) - parfois instructives - que l'on nous propose malgré tout. De précieux intermezzi entre dernières infos sur le nombre consternant de cas positifs et de.. (etc. !), vifs débats mesurant les degrés d'acceptabilité et (tout de même !) d'efficacité de nos mesures actuelles (dont fermetures-réouverture des magasins... sachant que nos chocolatiers restent ouverts), et ce mélange d'écœurement-désœuvrement face à la multiplicité des variant.e.s. Mais, dans l'ensemble (et même au delà) le et les vaccins résistent, et restent en tout cas la seule solution, même si on aimerait tant ne pas devoir réfléchir pour mieux choisir, aumoins à ce niveau.
Dernière recommandation : "dedans avec les miens"  (sans recevoir chez soi, proches compris !) et "dehors en citoyens". Il faut reconnaître que cela sonne bien, si ça peut nous aider à mémoriser. Pour appréhender cela un peu autrement, dans un franc sourire notre ministre de la santé, invité du "Quotidien" sur TMC, encouragé par Yann Barthès, résume l'état d'esprit à adopter par le mot « confiance ». Un de ces termes que l'on a beaucoup entendu ces derniers temps où, paradoxalement, elle a plutôt manqué, qu'il s'agisse de pouvoir faire confiance ou de l'inspirer aux autres, par delà apparences et objectifs faciles. Mais oui, faisons confiance quand on peut, et même on doit, faire confiance.

Après cette réconfortante introduction, essayons donc de sourire à notre tour... ou de garder une certaine sérénité avec non notes préférées, au moins le temps cette nouvelle balade musicale, sur laquelle vous avez bien fait de cliquer ;)


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«E ci sei, adesso tu... a dare un senso ai giorni miei, va tutto bene dal momento che ci sei...». Il y a quelques semaines, c'est incroyable, notre esprit devait presque faire un effort pour se réapproprier les paroles tendrement familières, de la "mitica" (comme tant d'autres!) "Adesso tu" d'Eros Ramazzotti (chanson gagnante au Festival de Sanremo 1986, après la victoire comme "Nuova proposta" de l'année précédente). Et, ce, même si le volume se faisait plutôt sentir. Dans la tête, assez spontanément, on entendait bien malgré nous : «E ci sei, adesso tu... a dare un calcio ai giorni miei, va tutto male dal momento che ci sei...». Bien entendu, ici pas de référence à un être humain... Depuis, on a donc réécouté ce morceau, en essayant de faire le vide. De nos jours, cela peut s'apparenter à une "méditation de pleine conscience" par la musique... enfin, il suffit juste de se laisser aller et de "décompresser" (quel joli mot !). En se concentrant sur tous les éléments de la chanson qui nous plaisent, sur tout ce qui fait que certains morceaux sont et resteront absolument indémodables...

Nous invitons donc les lecteurs "FR." qui connaîtraient en tout premier lieu "Terra promessa" - obtenant également tous nos suffrages - à se pencher sur... "Maintenant, tu es là" (qui nous paraît la meilleure solution pour rendre l'idée, même si on peut sûrement mieux faire en termes de longueur... pourquoi pas "Enfin, c'est toi"). On sait bien que les chansons d'Eros ne sont pas traduites en français (le marché international jouant surtout sur l'anglais, l'espagnol et, de manière plus ciblée, l'italien), mais tant pis, ou tant mieux.
Ainsi, on est bien "obligés" d'avoir le plaisir d'entendre sa voix et son timbre particuliers sur des paroles aussi italianissime que romanticisissime. Des paroles qui, en même temps, dépassent pas mal de frontières, en commençant par ces bordi di periferia de ses origines et du premier vers, c'est à dire par cette périphérie romaine, dove i tram non vanno avanti più / dove l'aria è popolare / è più facile sognare / che guardare in faccia la realtà... Arrêtez nous, sinon qui le fera ?! En plus, on risque de ne plus avoir de place pour les autres chansons... Adesso, maintenant, donc, écoutons justement  "Adesso tu", où une figure féminine surgit réellement (d'autres y voient plutôt l'allégorie  de la musique), comme un rayon de soleil dans un contexte difficile illuminé  et depassé par le rêve et la détermination. L'incisif "ma quanto fiato / quanta salita / andare avanti / senza voltarsi mai..." annonce le refrain-révélation, dans un "environnement musical" riche et parfait, comme toujours chez Eros (sauf exception... nous pensons à un titre duo très monotone - mais non, pas aux duos féminins que l'on sait ! -  qu'on n'indiquera pas, car même les plus grands en sont victimes dans un monde
-marché qui, tous domaines confondus, s'est toujours nourri d'abondance). Mais oublions cela et concentrons-nous sur ce petit bijou pop, sachant qu'on reviendra sur d'autres morceaux culte de cette icône de la musica leggera - précisément baptisée Eros Walter Luciano Ramazzotti ! - qui a su garder i piedi per terra. Et cela tombe bien : nous venons d'apprendre que le mois dernier le chanteur a partagé sur le web une vidéo-souvenir de cette chanson phare, à l'occasion des 35 ans de sa victoire aux couleurs de Sanremo. Il tempo vola! Nous vous proposons ceci, sans vidéo, pour une meilleure concentration :)


Ne quittons pas Eros Ramazzotti de sitôt : avant d'alterner avec de la "french music", on voudrait vous faire connaître une de ses chansons pas spécialement connue à l'international, mais qui met vraiment de bonne humeur. Originale, y compris dans ses arrangements, un brin sensuelle et franchement joyeuse. "Ma che bello questo amore", et "ma che bella" - mais qu'elle est bien également - la couverture de l'album qui apparaît en cliquant sur notre titre-lien, pour un mélange rétro/contemporain bien pensé et réalisé ! Il ne s'agit pas exactement de la musicalité qu'on lui connaissait sur CD (au rythme un peu plus rapide, vous la trouverez peut-être), mais elle a d'autres "plus" intéressants au niveau des arrangements.

Re-bonjour... du lendemain : a mente fresca, on a retrouvé  la fameuse version plus pétillante de "Ma che bello..." (titre ici synthétisé et belle expression idiomatique à retenir). Une version qui nous vient tout simplement du même album indiqué pour "Adesso tu", c'est à dire de l'un de ses CD bien gardé sur nos étagères (il n'y a pas que le virtuel dans la vie !), et à la couverture joliment mélancolique. Au lieu de substituer cet enregistrement au précédent, on a envie de l'ajouter, y compris parce que dans les commentaires, il y en a un, anglais, qui dit préférer la version de notre précédent paragraphe, en précisant néanmoins qu'Eros reste Eros : "but it's Eros, we love him" :) Perfetto, ed ora, buon ascolto!!

C'était une bonne indication, non ? Et maintenant, comme promis... côté français mais aussi côté actualité, passons à une autre grande icône qui, génération yéyé oblige, cette fois, brille de charme et de talent pour tous et même pour "Tous les garçons et les filles" (adorée aussi par les italiens... écoutez également "Quelli della mia età" !!), dès les années  soixante, et qui n'en finit pas de nous ravir. Il s'agit bien sûr de l'intense Françoise Hardy,  grande invitée de l'émission "Boomerang" du 18 mars dernier sur France Inter... Puisque nous nous intéressons aussi au sujet santé, un peu comme nous l'avions fait avec Christophe Maé, soulignons la situation particulière dont vient encore de faire état la célèbre interprète, sans nous y alourdir ici (mais on vous encourage à vous y attarder courageusement, au bon moment, car c'est aussi par cette voie que l'on touche au plus près aux vraies problématiques de l'existence, et qu'on appréhende un peu mieux la fragilité humaine, grâce à la générosité de ceux qui, humblement et généreusement, se confient aux médias, sans écarter points de vue et relation avec leurs proches...).

Seulement ces précisions, à connaître (comme vous les connaissez déjà, sans doute), avant de s'arrêter sur son actu musicale, tout aussi riche en humanité. Pandémie actuelle a part, qui n'arrange pas les choses (!!),  après s'être battue contre la maladie de Hodgin, la chanteuse avait été diagnostiquée d'un cancer du pharynx en 2004, dont elle est actuellement en rémission, après une phase particulièrement critique en 2015. Sur l'exemple du vécu de sa propre mère, Françoise Hardy, qui souffre aujourd'hui d'épisodes particulièrement douloureux, en particulier de "sensations" d'étouffement (répercussions des traitements anti cancer) a des idées très claires à  propos de l'euthanasie (sujet ô combien délicat et qui, à chaque fois, nous fait pencher plutôt pour les raisons d'une légalisation française). Des idées et une "facilité" d'intentions éventuelles qui, naturellement, inquiètent quelque peu Thomas Dutronc, par ailleurs plus que respectueux du sentiment de lassitude et de découragement de sa mère. Non è per niente facile. Mais on retient aussi les jolis sourires comme celui-ci (et tout le reste).
 


Francoise hardy


Lien France Inter (pour écouter l'interview et ses derniers morceuax). "Je suis de trop ici" : nous avons trouvé cette chanson particulièrement touchante, y compris pour son double sens, sentimental et existentiel. Préférer se mettre de côté, pour soi-même et pour l'autre, dans certaines situations et parfois bien malgré nous. La voix de Françoise Hardy garde un timbre jeune ainsi que d'autres évidentes qualités.
"Tant de belles choses" : vous verrez, Françoise Hardy explique la génèse de cette chanson, liée à un bouleversement, comme toutes les chansons réussies ou plutôt réussies, précise-t-elle. En effet, celle-ci est vraiment très forte et harmonieuse, et s'adresse à son fils et à toute sa peine quant à son état de santé. En musique, elle lui souhaite un très bel avenir, y croit et, par de douces et parlantes métaphores, lui donne les moyens d'y croire à son tour, en toute confiance.

Jusqu'ici, nos balades musicales ont tenu en une page ; comme on dit, l'un dans l'autre, c'était plus "pratique" pour plusieurs raisons. Essayons de nous y tenir encore et merci à vous de bien vouloir accepter la diversité de nos approches "Culture & Santé", y compris côté formel. En voulant donc poursuivre dans synthèse :
- notre entourage, normalement pas (très) fan de "rap" (en effet, l'actualité a encore été parlante sur ce point !) nous a néanmoins conseillé de vous faire écouter un rappeur original, qui a quelque chose à dire (vraiment), sans "colère en l'air" ni agressivité tristement exemplaires. À nous de choisir le morceau, plus ou moins récent, mais que nous avons souhaité parlant surtout pour LA "période" que nous traversons encore. Voici donc (connaisseurs à part), les confidences chantées d'Eddy De Pretto qui, parvenu à une certaine sagesse (28 ans), nous décrit sa "Fête de trop".

Veuillez accepter le manque de transition : bien que non permanent, c'est un de nos défauts (en espérant quand même que ces derniers soient assez limités)... Imaginez simplement que nous lire ici soit un peu comme écouter la radio... et que l'on puisse donc également enchaîner nos différentes "canzoni & chansons" en toute liberté et juste "Pour le plaisir"... qui, au passage, ne peut que devenir le célèbre lien-chanson que l'on aime tant. Un classique de 1981 (des années '80 et bien au delà) qui fait vraiment du bien, grâce au mariage parfait de paroles et musique indémodables (entre parenthèses, pour ses médecins Herbert Léonard serait un miraculé, après être sorti en 2017 de trente-deux jours de coma dus à une foudroyante infection pulmonaire. Tout est bien qui finit bien...) !

Toujours pour le plaisir, réécoutons ensemble (vu l'actuel succès amplement mérité) le duo Grand Corps Malade & Camille Lellouche dans "Mais je t'aime", pour faire le plein de tendresse et d'intelligence vocale, avec ces deux voix et personnalités qui se fondent à merveille. Avec insertion de la vidéo, "no pub" assurée à 200%. Vous pouvez même chanter, si cela vous chante, et si et si... Logiquement (et ne le saurai pas) !



Nous avons pensé aussi à Amir, bien présent sur nos écrans avec Vianney... sans oublier Amel Bent, avec sa musique et "sa philosophie" vu sa générosité et sa pertinence particulière comme juge à "The Voice" ! Mais là, on ne veut pas trop traîner en longueur, donc on garde bien tout cela pour notre prochaine balade ; et vous, vous pouvez garder ces "révélations" comme un avant-goût de valeurs sûres pour notre prochain rendez-vous. D'accord/Va bene così?

Par contre, on veut bien terminer à l'italienne (multiplié par deux, en parallèle à notre début "IT.", avec les chansons d'Eros)... Depuis longtemps, nous aimerions vous faire découvrir une chanson à la Celentano (voilà, on commence à vous indiquer le molleggaito, "l'homme-ressort" ou molleggiato Adriano Celentano, autre mythe avec Mina, de manière indirecte). Elle est interprétée par un chanteur et compositeur d'exception que vous connaissez bien. La France le connaît bien, même si sa plus célèbre chanson le dépasse encore en popularité. Il s'agit de Toto Cutugno, dont la voix grave et rauque vous est familière grâce à "L'italiano". («Lasciatemi cantare, con la chitarra in mano...»). Déjà présent dans "Culture & Santé" (pour notre chapitre sur la dernière Mostra de Venise) avec "L'italiano", justement, mais aussi avec sa "C'est Venise", l'amatissimo auteur de "L'été indien" de Joe Dassin a offert aux italiens une série de chansons magnifiques (donc nous reviendrons vers lui prochainement). Ici, c'est "Il mio treno va" que l'on vous propose.

Chanson qui rappelle en partie la superbe "Azzurro" de Celentano (dont on ajoute aussi le lien), pour son rythme saccadé, pour son ton parlé et confidentiel, ainsi que pour sa référence à "un treno", un train qui n'est plus exactement le "treno dei desideri" qui «all'incontrario va» (qui roule en sens inverse). C'est surtout un train qui sait où il va : «Il mio treno va... da te, che sei la cosa più importante per me (...). Parà, parappa pappa pairabà...». Voici paroles et traduction avec quelques habituelles imperfections (nous n'avons pas trouvé mieux) comme le verbe aller/andare pris pour le verbe venir, ou comme portare traduit ici par "porter" au lieu de "emmener"... sur une page choisie de manière anecdotique (pour une fois !) pour illustrer le nombre invraisemblable de publicités, imposantes et diversifiées, que l'on peut trouver, y compris et surtout autour d'un texte de chanson ou même d'une poésie (nos balades poétiques y ont bien échappé) : big mac en série sur les côtés, petits hauts et petits bas (bien sûr), chaussures, lait français, banque, support informatique... a-t-on oublié quelque chose ? Mais bon, oubliez tout cela (d'autant plus que cette configuration publicitaire varie, tant mieux !), en regardant cette vidéo spéciale, pleine d'atmosphère, pour mieux plonger dans cette chanson qui mérite d'être (re)connue encore davantage. 


 

Et, maintenant, le mot de la fin, avec un autre auteur-compositeur-interprète, qui nous fait rêver d'une autre façon : le polyinstrumentiste Edoardo Bennato (qui, pour cette raison probablement, préfère être interrogé sur sa musique que sur ses paroles). Bennato nous a très bien habitués à ses chansons toujours très marquées au niveau du style, et surtout, à des textes socialement engagés. Nous vous présentons "L'isola che non c'è", dont voici les très belles paroles, ainsi que leur traduction "Culture & Santé". En regardant la vidéo (Bennato, l'année dernière, était l'invité de "Radio Due Social Club", cf dernière brève de cette page info "C. & S."), vous aurez une idée plus rock du morceau, chanté avec quelques variantes (dans le bon sens du terme !), et pourtant toujours avec le même syle très personnel, c'est à dire plein d'énergie et même un peu de théâtralité.


 

Par ailleurs, on peut ajouter que la métaphore, c'est un recours langagier très prisé par Bennato, pour qui des fables comme "Pinocchio", à travers leurs différents personnages, peuvent offrir des messages complets, correspondant à chaque fois à un morceau, sur difficultés et embûches de l'existence. À connaître absolument dans ce cadre, "Il gatto e la volpe", ou "Le chat et le renard" (Nous avons choisi de ne pas écrire les titres, même italiens, en italique).
Dans "L'isola che non c'è", l'île qui n'existe pas représente l'utopie. Mais finalement, il faut découvrir les paroles pour s'apercevoir que ce refuge, d'où la haine et la violence sont complètement bannies etc. etc..., existe(rait) bel et bien. "Du coup", comme on dit, tous ceux qui n'y ont jamais cru, et n'ont jamais ou assez cru en nous, se retrouvent hors jeu ou fuori gioco... et, pour elles, il sera sans doute trop tard pour réaliser leur rêve o suivre le protagoniste dans son projet utopique. Un idée d'avenir faite finalement de simplicité, et où la beauté est d'habord harmonie et bon relationnel, sans arrogance ni hypocrisies ou fausses apparences, dictées par les objectifs que l'on sait. Ceux de la "réussite" immédiate et, parfois, à tout prix ("Il gatto e la volpe", évoquée et "linkée" plus haut, est très parlante en ce sens).

Avec attention et une bonne dose de confiance, suivons donc le chemin indiqué dès le premier vers (mais oui, on reste dans un cadre laïque, qui peut toucher la religion dans ce qu'elle a de meilleur... quand on s'y attend le moins). Cherchons là-haut cette étoile qui nous sourit, et, pour le dire familièrement, on verra bien ce qui se passe dans la vraie vie. En tout cas, cela ne peut que faire naître de l'espoir. Et c'est sur cet espoir de base que l'on peut se quitter, chers amis. À la prochaine... On essaiera d'inclure des morceaux d'autres horizons géographiques (autre d'anticipation !). Dans cette attente, merci de nous suivre dans nos autres rubriques et, éventuellement.. de bien vouloir accepter nos cookies de suivi de site (qui devraient désormais pouvoir être soumis à plusieurs accords/changements d'avis, qui restent anonymes, et encouragent le travail de rédaction).  

A presto, allora et, d'ici là (mais c'est bien difficile en ce moment...), quels que soient votre âge et vos préférences, pensez à réviser ou ripassare-ricantare les balades ou chansons de votre choix...
 


Illustration finale


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